La faim de vie
Nous vivons neuf mois en milieu aquatique. Cette phase de développement est une transformation permanente dans un état de quiétude et d'infini. Nous retrouvons cette qualité d'énergie et de conscience dans les tableaux de Vermeer, de G. De La Tour,... comme un temps en suspension, un présent éternel mais non figé, que nous gardons en mémoire dans nos cellules pour ne pas oublier cet état d'être, notre île intérieur.
Puis nous mourons à ce milieu aquatique en naissant à un milieu aérien. Le passage d'un monde à l'autre se fait par un glissement, par un passage dans un tunnel qui nous amène à la lumière.
Des témoignages de fin de vie et de N.D.E.* font état d'une phase de "glissement", généralement irréversible (la personne lâche prise, elle accepte de partir), puis d'un passage par un tunnel débouchant vers une lumière rassurante, guidante. Nous mourons à ce monde aérien pour naître à un monde,... inconnu.
Entre ces deux étapes notre vie est faite de transitions permanentes,... comme pour nous préparer à ce grand passage en fin d'existence terrestre.
... article en cours de publication. (bientôt sur ce blog)
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